All alone as I walked by the banks of the river
Watching the moonbeams as evening drew nigh.
All alone as I rambled I spied a fair damsel
Weepin' and wailin' with many a sigh.
Weepin' for one who is now lyin' lonely
Mournin' for one who no mortal can save.
As the foaming dark waters flowed sadly about him
Onward they speed over young Jimmy's grave.
[...]
Watching the moonbeams as evening drew nigh.
All alone as I rambled I spied a fair damsel
Weepin' and wailin' with many a sigh.
Weepin' for one who is now lyin' lonely
Mournin' for one who no mortal can save.
As the foaming dark waters flowed sadly about him
Onward they speed over young Jimmy's grave.
[...]
Voici une chanson populaire canadienne racontant l’histoire d’un bûcheron (ou d’un « draveur », accompagnant les « trains de bois » descendant au fil du courant) tué au bord d’une rivière. C’est ici la version chantée par Peter, Paul, and Mary (Adaptation et arrangements par Peter Yarrow, Noel Paul Stookey, Mary Travers, et Milton T Okun) dont je propose la traduction. L’histoire de cette chanson remonte au 19ème siècle, et l’auteur en reste inconnu. Le texte est chanté sur différentes mélodies, mais la version de Peter, Paul, and Mary est tout simplement sublime dans sa simplicité.
Jimmy Whalen
Seul, un soir, alors que je marchais au bord de l’onde
De la rivière que la lune éclairait
Seul, un soir, me promenant, je vis une jeune fille blonde
Qui pleurait, qui geignait, qui soupirait
Pleurant celui qui seul désormais gît
Celui qui est à jamais endormi
Tandis qu’autour de lui le flot écumant mugit
Recouvrant la tombe du pauvre Jimmy
Jimmy, ne me laisse pas, de douleur égarée
Pourquoi ne restes-tu pas près de moi ?
Mais si la mort est le glaive qui doit nous séparer
L’océan s’étend entre toi et moi
Seul, un soir, me promenant, je vis une jeune fille blonde
Qui pleurait, qui geignait, qui soupirait
(Traduction - Adaptation :Polyphrène)
Seul, un soir, alors que je marchais au bord de l’onde
De la rivière que la lune éclairait
Seul, un soir, me promenant, je vis une jeune fille blonde
Qui pleurait, qui geignait, qui soupirait
Pleurant celui qui seul désormais gît
Celui qui est à jamais endormi
Tandis qu’autour de lui le flot écumant mugit
Recouvrant la tombe du pauvre Jimmy
Jimmy, ne me laisse pas, de douleur égarée
Pourquoi ne restes-tu pas près de moi ?
Mais si la mort est le glaive qui doit nous séparer
L’océan s’étend entre toi et moi
Seul, un soir, me promenant, je vis une jeune fille blonde
Qui pleurait, qui geignait, qui soupirait
(Traduction - Adaptation :Polyphrène)