mercredi 16 août 2017

Home for the Holidays

(There is no place like) Home for the Holidays

Oh, there’s no place like home for the holidays,
‘Cause no matter how far away you roam
When you pine for the sunshine of a friendly gaze
For the holidays, you can’t beat home, sweet home


I met a man who lives in Tennessee and he was headin’ for 
Pennsylvania and some home-made pumpkin pie
From Pennsylvania folks are trav’lin’ down to Dixie’s sunny shore
From Atlantic to Pacific, gee, the traffic is terrific

Oh there's no place like home for the holidays, 
‘Cause no matter how far away you roam
If you want to be happy in a million ways
For the holidays, you can’t beat home, sweet home
For the holidays, you can’t beat home, sweet home




Sur une musique de Robert Allen et des paroles de Al Stillman, cette chanson est généralement associée aux fêtes de fin d’année. Elle a connu son plus grand succès grâce à l’interprétation de Perry Como (en 1954) (photo), puis celle des Carpenters (en 1984), suivies de nombreuses autres. Elle évoque, dans le contexte américain, la nostalgie des racines familiales et le réconfort qu’apporte le retour vers le foyer à l’occasion de la fête de Noël et du Thanksgiving
 
(Pour Murielle et Serge : Le Chœur des Souvenirs)


Rien n’est Mieux que Chez Soi pour les Fêtes

Rien n’est mieux que chez soi pour des fêtes heureuses
Car, aussi loin que l’on aille, ma foi
En cherchant l’atmosphère la plus chaleureuse
Pour les fêtes, rien n’est mieux qu’un doux chez soi

J’ai rencontré un gars du Tennessee sans cesse rêvant de
Pennsylvanie et de tartes au potiron
De Pennsylvanie vers le soleil du sud, les gens descendent
De l’Atlantique au Pacifique, ça fait de la circulation !

Rien n’est mieux que chez soi pour des fêtes heureuses
Car, aussi loin que l’on aille, ma foi
Pour l’amitié et la cuisine savoureuse
Pour les fêtes, rien n’est mieux qu’un doux chez soi

(Adaptation française : Polyphrène)