Paul Simon et Art Garfunkel chantent les saisons de la vie (texte de Paul Simon), qui passent si vite que l’hiver arrive avant que l’on ne réalise que le printemps est terminé .
On pense toujours au futur, jusqu’au jour où on se retourne pour constater que l’essentiel de notre vie est derrière nous. Tous nos rêves, nos projets pour « demain », nos espoirs et nos désirs sont vains.
Et notre mémoire rebrousse chemin, les yeux au sol, cherchant l’indice qui nous a échappé à l’aller, le carrefour que nous avons manqué, le signe que nous n’avons pas vu… le long du « boulevard du temps qui passe ».
On pense toujours au futur, jusqu’au jour où on se retourne pour constater que l’essentiel de notre vie est derrière nous. Tous nos rêves, nos projets pour « demain », nos espoirs et nos désirs sont vains.
Et notre mémoire rebrousse chemin, les yeux au sol, cherchant l’indice qui nous a échappé à l’aller, le carrefour que nous avons manqué, le signe que nous n’avons pas vu… le long du « boulevard du temps qui passe ».
La Teinte Brumeuse de l’Hiver
Temps, temps, temps, vois ce que tu as fait de moi
Quand je regardais
Toutes mes possibilités
Et si peu me plaisaient
Mais regarde, les feuilles meurent
Et le ciel prend la teinte brumeuse de l’hiver
Écoute l’Armée du Salut
Jouer le long de la rive
La ballade sera plus festive
Que tu n’as prévu
Sébile en main dans la rue
Et regarde, les feuilles meurent
Et le ciel prend la teinte brumeuse de l’hiver
Accroche-toi à ton espoir
Mon gars, c’est facile à dire
Mais si l’espoir vient à mourir
Fais semblant de croire
Que tu peux le reconstruire
Regarde, l’herbe jaunit
Les blés sont mûrs ; c’est le printemps de ma vie
Les décors et saisons qui varient
Tissent le temps en tapisserie
Pense à moi si tu passes ici
Arrête-toi quand ça te dit
C’est drôle comme ma mémoire s’enfuit
Quand je regarde mes manuscrits
De poèmes inédits
Tout en buvant mon whisky
Regarde, les feuilles meurent
Et le ciel prend la teinte brumeuse de l’hiver
Regarde, les feuilles meurent
Il y a de la neige sur le sol…
Regarde, les feuilles meurent
Il y a de la neige sur le sol…
Regarde, les feuilles meurent
Il y a de la neige sur le sol…
(Traduction - Adaptation : Polyphrène)
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