On a mountain stands a mansion so fine
And it looks down on this cabin of mine
I had a love and I loved her true
But along came a rich man and he loved her to
Now on the mountain in a mansion stands my love
[…]
Voici une variation sur le thème de l’amant dont la belle a été séduite par (ou « offerte à ») un riche bourgeois, et qui attend patiemment son retour, comme Georges Brassens le chantait si délicatement (« Comme une sœur… ») :
« Quand elle sera veuve éplorée, veuve éplorée,
Après l'avoir bien enterré, bien enterré,
J'ai l'espérance qu'elle viendra
Faire sa niche entre mes bras, entre mes bras. »
C’est ici Jim Reeves qui interprète, avec toutes les inflexions de sa voix de baryton, cette chanson de Johnny Russell : encore un grand « standard » du Country !
Dans un manoir vit mon amour
Sur la montagne, un grand manoir bourgeois
De haut regarde ma p’tite cabane en bois
J’aimais une fille de tout mon cœur, mais
Vint un riche patron jurant qu’aussi il l’aimait
Sur la montagne, dans un manoir, vit mon amour
Alors, il lui a promis des diamants
Oui, et promis les plus beaux vêtements
Promis toujours le meilleur,
Mais on n’achète pas l’amour de son pauvre cœur
Sur la montagne, dans un manoir, vit mon amour
Mais je la sais malheureuse là haut
Où elle doit supporter ses défauts
Mon seul rêve est qu’un prochain jour
Elle revienne avec moi pour toujours
Dans ma cabane, au fond de la vallée
Sur la montagne, un grand manoir bourgeois
Sur la montagne, dans un manoir, vit mon amour
Sur la montagne, dans un manoir, vit mon amour
(Traduction – Adaptation : Polyphrène)
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