samedi 27 octobre 2012

Silhouettes

Took a walk and passed your house late last night
All the shades were pulled and drawn way down tight
From within, the dim light cast two silhouettes on the shade
Oh what a lovely couple they made

Put his arms around your waist, held you tight
Kisses I could almost taste in the night
Wondered why I'm not the guy who's silhouette's on the shade
I couldn't hide the tears in my eyes

Ah-ah-ah-ah-ah...
Ah-ah-ah-ah-ah...

Lost control and rang your bell, I was sore
Let me in or else I'll beat down your door
When two strangers who have been two silhouettes on the shade
Said to my shock "you're on the wrong block"

Rushed out to your house with wings on my feet
Loved you like I'd never loved you my sweet
Vowed that you and I would be two silhouettes on the shade
All of our days, two silhouettes on the shade

Ah-ah-ah-ah-ah...
Ah-ah-ah-ah-ah...



Cette chanson de Bob Crewe et Franck Slay fut d’abord chantée, en 1957, par The Rays et par The Diamonds, avant de connaître à nouveau un grand succès grâce aux Herman’s Hermits en 1965 (photo). Cette gentille histoire de méprise amoureuse se conclut sur une « happy end ».
Les ombres chinoises ont, de tout temps, offert un formidable support à l’imagination, comme un véritable test de Rorschach : chacun peut voir ce qu’il souhaite ou ce qu’il craint et, comme dans les meilleurs romans, faire lui-même la plus grande partie du chemin que l’auteur se contente de suggérer.



Silhouettes

Passant devant ta maison, tard hier soir
Sur les rideaux bien tirés, j’ai pu voir
Se mouvoir deux silhouettes que l’ombre dessinait
Quel charmant couple cela faisait

Il te tenait par la taille, bien serrée
Je pouvais presque sentir vos baisers
Pourquoi n’était-ce pas là ma silhouette à moi ?
Je pleurais, plein de désarroi

Ah-ah-ah-ah-ah...
Ah-ah-ah-ah-ah...

N’y tenant plus, j’ai sonné ; je souffrais
Ouvrez la porte ou je vais l’enfoncer
Mais les deux étrangers qui s’étaient silhouettés
M’ont dit « C’est la maison d’à côté »

J’ai volé jusqu’à ton nid, mon amour
Pour t’aimer plus que jamais, pour toujours
J’ai souhaité que toi et moi fassions deux silhouettes
Pour toute la vie, fassions deux silhouettes

(Traduction - Adaptation : Polyphrène)

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