vendredi 2 novembre 2012

Bus Stop

Bus stop, wet day, she's there, I say
Please share my umbrella
Bus stop, bus goes, she stays, love grows
Under my umbrella
All that summer we enjoyed it
Wind and rain and shine
That umbrella, we employed it
By August, she was mine

Chorus:
Every morning I would see her waiting at the stop
Sometimes she'd shopped and she would show me what she bought
Other people stared as if we were both quite insane
Someday my name and hers are going to be the same

That's the way the whole thing started
Silly but it's true
Thinkin' of a sweet romance
Beginning in a queue
Came the sun the ice was melting
No more sheltering now
Nice to think that that umbrella
Led me to a vow

Every morning I would see her waiting at the stop
Sometimes she'd shopped and she would show me what she bought
Other people stared as if we were both quite insane
Someday my name and hers are going to be the same

Came the sun the ice was melting
No more sheltering now
Nice to think that that umbrella
Led me to a vow




Cette chanson, écrite par Graham Gouldman alors qu’il n’avait que 16 ans, ne se compare certes pas au célèbre « Parapluie » de Georges Brassens, bien que cet accessoire soit, dans les deux cas, à l’origine d’une rencontre et d’un « coup de foudre sous la pluie ».
Cependant, avec sa mélodie gaie et tonique, « Bus Stop » assura au groupe « The Hollies » un grand succès en 1966. C’est, de fait, un très bel exemple de l’exubérance musicale des « sixties », avec un optimisme qui pourrait aujourd’hui paraître naïf, voire déplacé. Pourtant, cette petite histoire d’amour d’abribus, toute mièvre et simpliste qu’elle puisse paraître, suscite, chez tous ceux qui ont vécu cette époque, une grand nostalgie.


Abri-Bus

Elle attend sous la pluie ; je lui
Propose mon parapluie
Le bus passe, mais elle reste, et puis
C’est l’amour qui surgit

Tout l’été, mon parapluie
Nous protégea mais
Grâce au vent et à la pluie,
En août, on s’aimait

Refrain :
Tous les matins, attendant le bus, elle était là
Les jours de marché, elle me montrait ses achats
Et les gens nous regardaient comme si nous étions fous
Mais moi, je sais qu’un jour je serai son époux

Les choses ont vraiment commencé
Comme je les chante
Notre roman d’amour est né
Dans une file d’attente

Et la glace au soleil fondit
Donc, plus besoin d’abri
C’est mon parapluie qui fit
De moi son mari

Tous les matins, attendant le bus, elle était là
Les jours de marché, elle me montrait ses achats
Et les gens nous regardaient comme si nous étions fous
Mais moi, je sais qu’un jour je serai son époux

Et la glace au soleil fondit
Donc, plus besoin d’abri
C’est mon parapluie qui fit
De moi son mari

(Traduction – Adaptation : Polyphrène)

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