Cette chanson de
Gary Shearston, chantée par Peter Paul and Mary, mais aussi par Joe Dassin, est
un magnifique cri d’amour, souligné par une mélodie douce et suave.
La nature est le
témoin
De l’amour dont le besoin
Est vital comme l’ondée
Pour la prairie assoiffée.
Les images bucoliques,
Pour le cœur mélancolique,
Sont autant d’évocations,
Et son imagination
Lui fait sentir les caresses
De la brise et la tendresse
Des vagues qui sur la plage,
Comme sur un beau visage,
Viennent polir le galet
A force de l’effleurer.
Et par autant de douceur,
L’âme, le corps et le cœur
Se découvrent et s’épanouissent
Comme des roses et fleurissent,
Retenant le temps qui fuit,
Portant l’amour comme un fruit.
De l’amour dont le besoin
Est vital comme l’ondée
Pour la prairie assoiffée.
Les images bucoliques,
Pour le cœur mélancolique,
Sont autant d’évocations,
Et son imagination
Lui fait sentir les caresses
De la brise et la tendresse
Des vagues qui sur la plage,
Comme sur un beau visage,
Viennent polir le galet
A force de l’effleurer.
Et par autant de douceur,
L’âme, le corps et le cœur
Se découvrent et s’épanouissent
Comme des roses et fleurissent,
Retenant le temps qui fuit,
Portant l’amour comme un fruit.
A Hélène
Amour Sporadique
Je ne veux pas de
ton amour
Sporadique comme
pluies d’été
Car j’ai dormi
deux longs hivers
Avec l’amour sous
mon oreiller
As-tu vu la neige
tomber
Recouvrant les
pins comme un drap ?
L’as-tu vue les
envelopper ?
Viens me serrer
dans tes bras
Entends rire la
rivière changeant
Les roches en
sable fin,
La vague qui
parcourt l’océan ?
Viens et prends
moi par la main
Vois comme se
tend l’herbe assoiffée
Pour recueillir
une ondée
Vois la force de
son baiser
Viens à nouveau
m’embrasser
Quand vient sur
terre l’été à son tour
De l’amour
portant le grain
Si tu trouves en
toi cet amour
Viens vivre avec
moi enfin
(Traduction –
Adaptation : Polyphrène)
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