samedi 24 octobre 2009

Heaven's Just a Sin Away

Heaven's just a sin away,
oh oh just a sin away
I can't wait another day,
I think I'm giving in

How I long to hold you tight,
oh oh be with you tonight
that still don't make it right,
cause I belong to him

Oh way down deep inside,
I know that it's all wrong
your eyes keep tempting,
but I never was that strong

Devil's got me now,
oh oh gone and got me now
I can't fight him anyhow,
I think he's gonna win

Heaven's just a sin away,
oh oh just a sin away
Heaven help me when I say,
I think I'm giving in

[ fiddle ]

Oh way down deep inside
I know that it's all wrong
your eyes keep tempting,
but I never was that strong

Devil's got me now,
oh oh gone and got me now
I can't fight him anyhow,
I think he's gonna win

Heaven's just a sin away,
oh oh just a sin away
Heaven help me when I say,
I think I'm giving in

I think I'm giving in
I think I'm giving in


 

Voici une chanson écrite par Jerry Gillespie et popularisée par "The Kendalls", mais aussi, entre autres, par Lynn Anderson, John Fogerty. Elle décrit le jeu de la tentation, et la force du désir, en jouant sur les mots (un péché mène à l'enfer... ou au septième ciel). Le thème du plaisir que procure l'anticipation, et du piment que rajoute le sentiment de transgression, est classique. Il est illustré ici, très directement, par la tentation de l'adultère, ce qui n'est pas non plus très original. 

 

Le Ciel à un Péché près

Le ciel à une péché près,
Oh, juste un péché près !
Guère plus longtemps j’ n’attendrai
Car je vais succomber.

Oh, comme je voudrais t’étreindre
Et, dès ce soir te rejoindre.
Pourtant, ce n’est pas bien
Car à elle j’appartiens.

Malgré la fièvre ardente,
Je sais bien que j’ai tort :
Quand tes yeux me tentent,
Je ne suis pas assez fort.

Le Démon me tient ;
Oh, et comme il me tient bien !
Et moi, je n’y peux plus rien,
Et je résiste en vain.

Le ciel à une péché près,
Oh, juste un péché près !
Le ciel je dois implorer
Car je vais succomber.

[pont musical au violon]

Malgré la fièvre ardente,
Je sais bien que j’ai tort :
Quand tes yeux me tentent,
Je ne suis pas assez fort.

Le Démon me tient ;
Oh, et comme il me tient bien !
Et moi, je n’y peux plus rien,
Et je résiste en vain.

Le ciel à un péché près,
Oh, juste un péché près !
Le ciel je dois implorer
Car je vais succomber.

Car je vais succomber.
Car je vais succomber.


(Traduction – Adaptation : Polyphrène)


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