You asked me not to call you on the phone
But there's something I'm wanting to tell you
So I [wrote it in the words of this [song.
I Didn't know God made honky tonk angels
I might have known you'd never make a wife
You gave up the only one that ever loved you
And went [back to the wild side of life.
The glamor of the gay night life has lured you
To the places where the wine and liquor flows
Where you wait to be anybody's baby
And forget the truest love you'll ever know.
Cette chanson, écrite par Arlie A. Carter and William Warrem, contribua considérablement à la popularité de Hank Thompson, mais fut aussi à l'origine d'une polémique au début des années 1950, sous la forme d'une réponse chantée sur la même mélodie par Kitty Wells (voir le billet suivant).
Il est vrai que le thème de l'épouse quittant son mari pour se laisser entraîner par la vie facile et la débauche est quelque peu partial : L'homme offrant le seul vrai amour, et n'imaginant pas une seconde que ce qu'il a à offrir n'en vaut peut être pas la peine, ou que ses propres trahisons sont la cause du départ de celle qu'il prétend aimer. Si tel était encore le point de vue dominant à cette époque, certaines choses ont changé depuis, et la réponse de Kitty Wells a connu autant de succès, sinon plus, que l'original !
La Vie Dissolue
Mes lettres, sans les lire, tu les renvois ;
Tu n’veux pas me répondre au téléphone,
Alors, pour te faire entendre ma voix,
Je m’exprime dans la chanson que j’entonne.
J’ignorais que Dieu fait danser* les anges.
T’étais pas faite pour l’amour absolu.
Moi seul t’aimais vraiment et tu t’en venges
En retournant à ta vie dissolue.
Les lumières de la nuit t’ont attirée
Où vins et alcools à flot sont servis.
Tu joues la femme facile et libérée,
Oubliant le seul amour de ta vie.
* ou "swinguer" si l’on veut restituer plus fidèlement l’esprit "Honky-Tonk" et si l’on ne craint pas le franglais.
(Traduction – Adaptation : Polyphrène)
Mes lettres, sans les lire, tu les renvois ;
Tu n’veux pas me répondre au téléphone,
Alors, pour te faire entendre ma voix,
Je m’exprime dans la chanson que j’entonne.
J’ignorais que Dieu fait danser* les anges.
T’étais pas faite pour l’amour absolu.
Moi seul t’aimais vraiment et tu t’en venges
En retournant à ta vie dissolue.
Les lumières de la nuit t’ont attirée
Où vins et alcools à flot sont servis.
Tu joues la femme facile et libérée,
Oubliant le seul amour de ta vie.
* ou "swinguer" si l’on veut restituer plus fidèlement l’esprit "Honky-Tonk" et si l’on ne craint pas le franglais.
(Traduction – Adaptation : Polyphrène)
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