Good thing have come to you.
I wish I had your happiness
And you had a do-wacka-do,
Wacka do, wacka-do, wacka-do.
They tell me you’re runnin’ free,
Your days are never blue.
I wish I had your good-luck charm
And you had a do-wacka-do,
Wacka do, wacka-do, wacka-do.
Yeah, I see you’re goin’ down the street in your big Cadillac,
You got girls in the front, you got girls in the back,
Yeah, way in back, you got money in a sack,
Both hands on the wheel and your shoulders rared back
Root-doot-doot-doot-doot, do-wah
I hear tell you’re doin’ well,
Good things have come to you.
I wish I had your happiness
And you had a do-wacka-do,
Wacka do, wacka-do, wacka-do.
(Nonsense syllable interlude)
Yeah, I see you’re goin’ down the street in your big Cadillac,
You got girls in the front, you got girls in the back,
Yeah, way in back, you got money in a sack,
Both hands on the wheel and your shoulders rared back
root-doot-doot-doot-doot, do-wah,
I hear tell you’re doin’ well,
Good things have come to you.
I wish I had your good-luck charm
And you had a do-wacka-do,
Wacka do, wacka-do, wacka-do.
Une espièglerie typique de Roger Miller, « Do Wacka Do » (littéralement : « faire ce que je fais ») est un réjouissant intermède sur le thème de la jalousie ou de l’envie. A chacun d’imaginer le scénario : deux anciens camarades, frères, amis… ou complices – l’un a réussi et mène la grande vie, tandis que l’autre vit la galère. Pourquoi pas l’un au bagne et l’autre parti avec le magot ? Qu’importe, en vérité. Il suffit de se laisser prendre par le rythme et les onomatopées hilarantes : effet garanti !
Ah ! Une fois de plus, après avoir rédigé ma traduction, j’ai fureté sur le « Web » et découvert que Hughes Aufray en a chanté une adaptation assez surprenante, où « Do-Wacka-do » est devenu « un dou Wakadou », un don, un truc, un charme magique par lequel l’ancien copain fait « tomber les filles comme des quilles ». J’avoue que je n’y aurais pas pensé ! J’ai honte de mon incompétence, mais je crois quand même utile de livrer une traduction maladroite, certes, mais plus littérale.
Dans Ma Peau
On dit qu’ tu vis dans l’opulence
La vie t’ fait des cadeaux
J’aimerais bien avoir ta chance
Et que toi, tu sois dans ma peau
Dans ma peau, dans ma peau, dans ma peau
On dit que tu as mis les voiles
Tes jours sont toujours beaux
J’aimerais avoir ta bonne étoile
Et que toi, tu sois dans ma peau
Dans ma peau, dans ma peau, dans ma peau
Je te vois d’ici, sur l’avenue, dans ta Cadillac
Et des filles à l’avant, et des filles à l’arrière
Et dans le coffre plein d’argent dans ton sac
Mains sur le volant, et un bronzage d’enfer
Root-doot-doot-doot-doot, do-wah
On dit qu’ tu vis dans l’opulence
La vie t’ fait des cadeaux
J’aimerais bien avoir ta chance
Et que toi, tu sois dans ma peau
Dans ma peau, dans ma peau, dans ma peau
(Onomatopées)
Je te vois d’ici, sur l’avenue, dans ta Cadillac
Et des filles à l’avant, et des filles à l’arrière
Et dans le coffre plein d’argent dans ton sac
Mains sur le volant, et un bronzage d’enfer
Root-doot-doot-doot-doot, do-wah
On dit qu’ tu vis dans l’opulence
La vie t’ fait des cadeaux
J’aimerais bien avoir ta chance
Et que toi, tu sois dans ma peau
Dans ma peau, dans ma peau, dans ma peau
(Traduction – Adaptation : Polyphrène)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vous avez la parole :