
Le personnage principal du film, en quête de son humanité, quitte tout pour
voyager et se réfugie dans la solitude au cœur de la nature sauvage pour
comprendre et exprimer, avant de mourir, qu’il n’est de bonheur que dans le
partage (« Happiness only real when shared » ).
Et c’est bien cela qui devrait constituer le socle de la société.
Société
C’est un vrai mystère pour moi
Qu’à nos envies
Nous ayons consenti
On veut toujours plus ; jamais ça ne suffit
On croit qu’il faut tout pour se sentir libre
Société, engeance de folie
Te sens-tu seule aussi, moi parti ?
Quand on veut plus que l’on a, c’est une envie
Quand on pense plus que l’on ne veut, la pensée s’élargit
Je pense qu’il me faut de plus grands espaces
Car, quand on a plus qu’on ne pense
Ça prend d’ la place
Société, engeance de folie
Te sens-tu seule aussi, moi parti ?
Société, en pleine folie
Te sens-tu si seule, moi parti ?
Certains pensent qu’il faut moins ; mieux, c’est moins
Mais, si mieux, c’est moins
Comment comptent les points ?
Si, à chaque point qu’on marque, le niveau baisse
On a le sentiment qu’on régresse
Et ça n’ se fait pas !
Société, engeance de folie
Te sens-tu seule aussi, moi parti ?
Société, engeance de folie
Te sens-tu seule aussi, moi parti ?
Société, aie pitié de moi
Si je n’ suis pas d’accord, ne te fâche pas
Société, engeance de folie
Te sens-tu seule aussi, moi parti ?
(Traduction –
Adaptation : Polyphrène, sur une suggestion et avec la collaboration de Céline
Coppin)
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