dimanche 1 septembre 2013

That will be the day

Well that'll be the day
When you say goodbye
That'll be the day
When you make me cry
You say you're gonna leave
You know it's a lie
Cause that'll be the day that I die

Well that'll be the day
When you say goodbye
That'll be the day
When you make me cry
You say you're gonna leave
You know it's a lie
Cause that'll be the day that I die

Well you gave me all your loving
And your turtle doving
All your hugs and kisses
And your money too
You know you love me baby
Still you tell me baby
That someday when I'll be true

Well that'll be the day
When you say goodbye
That'll be the day
When you make me cry
You say you're gonna leave me
You know it's a lie
Cause that'll be the day that I die

When Cupid shot his dart
He shot it at your heart
So if we ever part then I'll be blue
You say and told me
And you tell me boldy
Well that someday that will be true

Well that'll be the day
When you say goodbye
That'll be the day
When you make me cry
You say you're gonna leave me
You know it's a lie
Cause that'll be the day that I die

Ah that'll be the day wooh-ooh-ooh
That'll be the day woo-ooh-ooh
That'll be the day woo-ooh-ooh
That'll be the day when I die



La plus célèbre chanson de Buddy Holly et Jerry Allison, que certains considèrent comme un tournant dans l’histoire débutante du rock’n’roll, a été d’abord chanté par Buddy Holly avec The Crickets, puis par Linda Ronstadt, mais aussi par les Beatles. En réalité, ce fut la première chanson qu’il enregistrèrent, alors que leur groupe s’appelait « The Quarrymen », avant de devenir « The Beatles ».
 Son titre est inspiré de la phrase reprise comme un leitmotiv par John Wayne dans le célèbre film de John Ford « LaPrisonnière du Désert » (« The Searchers »). Il peut se traduire de différentes façons, comme « Ce n’est pas demain la veille », ou « N’y compte pas », ou encore « Tu peux toujours attendre ». Dans tous les cas, il implique l’incrédulité ou la certitude qu’une chose ne peut arriver.
Buddy Holly utilise ici cette expression de façon subtile, à la fois pour exprimer, de façon presque conjuratoire, sa quasi-certitude que son amour est éternel, et pour laisser entendre que, s’il venait à se terminer, il en mourrait.
Cette chanson est citée par Don McLean dans American Pie, évoquant la disparition de Buddy Holly dans un accident d’avion.


Ce n’est pas demain

Ce n’est pas demain
Qu’ tu vas t’en aller
Ce n’est pas demain
Que je pleurerais
Tu parles de me quitter
Mais ce n’est pas vrai
Car ce n’est pas demain
Que je mourrai

Ce n’est pas demain
Qu’ tu vas t’en aller
Ce n’est pas demain
Que je pleurerais
Tu parles de me quitter
Mais ce n’est pas vrai
Car ce n’est pas demain
Que je mourrai

Tu me donnes tout ton amour
Tes mots doux et tes toujours
Embrassades et baisers
Et petite monnaie
Tu dis que tu m’aimes, chérie
Mais tu dis aussi
Qu’un jour ou l’autre
Tout finit

Ce n’est pas demain
Qu’ tu vas t’en aller
Ce n’est pas demain
Que je pleurerais
Tu parles de me quitter
Mais ce n’est pas vrai
Car ce n’est pas demain
Que je mourrai

Quand Cupidon a lancé
Sa flèche, il te visait
Si on se séparait
J’en déprim’rais
Sans ambiguïté
Tu me l’as répété
Un jour où l’autre ce sera vrai

Ce n’est pas demain
Qu’ tu vas t’en aller
Ce n’est pas demain
Que je pleurerais
Tu parles de me quitter
Mais ce n’est pas vrai
Car ce n’est pas demain
Que je mourrai

Oh, ce n’est pas , wooh-ooh-ooh
Ce n’est pas demain, wooh-ooh-ooh
Ce n’est pas demain, wooh-ooh-ooh
Ce n’est pas demain que je mourrai

(Traduction – Adaptation : Polyphrène)

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