When you say goodbye
That'll be the day
When you make me cry
You say you're gonna leave
You know it's a lie
Cause that'll be the day that I die
Well that'll be the day
When you say goodbye
That'll be the day
When you make me cry
You say you're gonna leave
You know it's a lie
Cause that'll be the day that I die
Well you gave me all your loving
And your turtle doving
All your hugs and kisses
And your money too
You know you love me baby
Still you tell me baby
That someday when I'll be true
Well that'll be the day
When you say goodbye
That'll be the day
When you make me cry
You say you're gonna leave me
You know it's a lie
Cause that'll be the day that I die
When Cupid shot his dart
He shot it at your heart
So if we ever part then I'll be blue
You say and told me
And you tell me boldy
Well that someday that will be true
Well that'll be the day
When you say goodbye
That'll be the day
When you make me cry
You say you're gonna leave me
You know it's a lie
Cause that'll be the day that I die
Ah that'll be the day wooh-ooh-ooh
That'll be the day woo-ooh-ooh
That'll be the day woo-ooh-ooh
That'll be the day when I die
La plus célèbre chanson de Buddy Holly et Jerry Allison, que certains considèrent comme un tournant dans l’histoire débutante du rock’n’roll, a été d’abord chanté par
Buddy Holly avec The Crickets, puis par Linda Ronstadt, mais aussi par les
Beatles. En réalité, ce fut la première chanson qu’il enregistrèrent, alors que
leur groupe s’appelait « The Quarrymen », avant de devenir « The Beatles ».
Son titre est inspiré de la phrase reprise
comme un leitmotiv par John Wayne dans le célèbre film de John Ford « LaPrisonnière du Désert » (« The Searchers »). Il peut se traduire
de différentes façons, comme « Ce n’est pas demain la veille », ou
« N’y compte pas », ou encore « Tu peux toujours
attendre ». Dans tous les cas, il implique l’incrédulité ou la certitude
qu’une chose ne peut arriver.
Buddy Holly
utilise ici cette expression de façon subtile, à la fois pour exprimer, de
façon presque conjuratoire, sa quasi-certitude que son amour est éternel, et
pour laisser entendre que, s’il venait à se terminer, il en mourrait.
Cette chanson est
citée par Don McLean dans American Pie, évoquant la disparition de Buddy Holly dans
un accident d’avion.
Ce n’est pas demain
Ce n’est pas demain
Qu’ tu vas t’en
aller
Ce n’est pas demain
Que je pleurerais
Tu parles de me
quitter
Mais ce n’est pas
vrai
Car ce n’est pas demain
Que je mourrai
Ce n’est pas demain
Qu’ tu vas t’en
aller
Ce n’est pas demain
Que je pleurerais
Tu parles de me
quitter
Mais ce n’est pas
vrai
Car ce n’est pas demain
Que je mourrai
Tu me donnes tout
ton amour
Tes mots doux et
tes toujours
Embrassades et
baisers
Et petite monnaie
Tu dis que tu
m’aimes, chérie
Mais tu dis aussi
Qu’un jour ou
l’autre
Tout finit
Ce n’est pas demain
Qu’ tu vas t’en
aller
Ce n’est pas demain
Que je pleurerais
Tu parles de me
quitter
Mais ce n’est pas
vrai
Car ce n’est pas demain
Que je mourrai
Quand Cupidon a
lancé
Sa flèche, il te
visait
Si on se séparait
J’en déprim’rais
Sans ambiguïté
Tu me l’as répété
Un jour où
l’autre ce sera vrai
Ce n’est pas demain
Qu’ tu vas t’en
aller
Ce n’est pas demain
Que je pleurerais
Tu parles de me
quitter
Mais ce n’est pas
vrai
Car ce n’est pas demain
Que je mourrai
Oh, ce n’est pas , wooh-ooh-ooh
Ce n’est pas demain, wooh-ooh-ooh
Ce n’est pas demain, wooh-ooh-ooh
Ce n’est pas demain que je mourrai
(Traduction –
Adaptation : Polyphrène)
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