Sur des paroles de Ned Washington, et une mélodie de Dimitri Tiomkin, cette chanson, chantée par Frankie Laine, constituait le générique de la série américain "Rawhide", qui marqua le début de la carrière et du succès de Clint Eastwood. C'est aussi un incontournable titre de toutes les compilations de Country.
La série racontait les aventures d'une vingtaine de cowboys chargés d'acheminer un troupeau de 3000 bêtes de San Antonio, au Texas, à Sedalia, dans le Missouri (et non vers une hypothétique ville de "Rawhide", comme semblent le croire certains traducteurs - ce vocable désigne en fait le fouet fait d'une lanière de cuir brut, sorte de "nerf de bœuf" utilisé pour faire avancer le bétail).
La série racontait les aventures d'une vingtaine de cowboys chargés d'acheminer un troupeau de 3000 bêtes de San Antonio, au Texas, à Sedalia, dans le Missouri (et non vers une hypothétique ville de "Rawhide", comme semblent le croire certains traducteurs - ce vocable désigne en fait le fouet fait d'une lanière de cuir brut, sorte de "nerf de bœuf" utilisé pour faire avancer le bétail).
Cravache !
En marche, en marche, en marche
En avant, avance, avance
Malgré leur réticence
Il faut que les bêtes avancent
Cravache !
N’essaie pas de les comprendre
Lance ton lasso pour les prendre
Bientôt la fête et la bamboche
Et mon cœur explosera
Car mon amour m’attendra
A la fin du voyage qui approche.
Bouge-les, pousse-les
Pousse-les, bouge-les
Tire-les, pousse-les
Cravache !
Sépare-les, rentre-les
Rentre-les, ressort-les
Sépare-les, rentre-les
Cravache !
En marche, en marche, en marche
En marche, en marche, en marche
En marche, en marche, en marche
En marche, en marche, en marche
Cravache !
En marche, en marche, en marche
Pas même les crues n’empêchent
De faire passer les vaches
Cravache !
La pluie ou la tempête
Rien ne nous arrête
Que j’aimerais tenir par les hanches
Ma fiancée qui m’attend
Et ses baisers que j’aime tant
A la fin du voyage qui approche.
Bouge-les, pousse-les
Pousse-les, bouge-les
Tire-les, pousse-les
Cravache !
Sépare-les, rentre-les
Rentre-les, ressort-les
Sépare-les, rentre-les
Cravache !
En avant, avance, avance
Malgré leur réticence
Il faut que les bêtes avancent
Cravache !
N’essaie pas de les comprendre
Lance ton lasso pour les prendre
Bientôt la fête et la bamboche
Et mon cœur explosera
Car mon amour m’attendra
A la fin du voyage qui approche.
Cravache !
Cravache !
(Traduction - Adaptation : Polyphrène)
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