Cette sympathique chansonnette de Max Crook et Del Shannon, en 1961 a fait l'objet d'une adaptation française par Patrick Loiseau, chantée en 1974 par Dave sous le titre de "Vanina".
Comme c'est très souvent le cas, l'adaptation française s'éloigne assez largement (suffisamment, tout au moins, pour que je m'estime fondé à tenter ma propre traduction) de la version originale, tout en restant sur la même thématique du départ et de la séparation.
La version de Dave est restée très populaire, et réellement remarquable par sa performance vocale, puisqu'il remplace la partie instrumentale par une véritable vocalise, chantant "Vanina" sur les tons les plus aigus. Beaucoup l'ont imité depuis, aucun ne l'a égalé !
J'ose à peine présenter ici ma traduction, car je dois bien reconnaître que les "loin, loin, loin... loin de moi" de Dave ont plus d'allure que mes futiles "fu - fu - fu" ! Néanmoins je reste fidèle à mon principe de traduction aussi littérale que possible, quoi qu'il m'en coûte...
Comme c'est très souvent le cas, l'adaptation française s'éloigne assez largement (suffisamment, tout au moins, pour que je m'estime fondé à tenter ma propre traduction) de la version originale, tout en restant sur la même thématique du départ et de la séparation.
La version de Dave est restée très populaire, et réellement remarquable par sa performance vocale, puisqu'il remplace la partie instrumentale par une véritable vocalise, chantant "Vanina" sur les tons les plus aigus. Beaucoup l'ont imité depuis, aucun ne l'a égalé !
J'ose à peine présenter ici ma traduction, car je dois bien reconnaître que les "loin, loin, loin... loin de moi" de Dave ont plus d'allure que mes futiles "fu - fu - fu" ! Néanmoins je reste fidèle à mon principe de traduction aussi littérale que possible, quoi qu'il m'en coûte...
Fugitive
Je ne comprends pas ton absence
Pourquoi notre amour est mort
Qui paraissait si fort
Et, tout en marchant, je repense
A ce qu’on a fait tous deux
Quand nos cœurs n’étaient pas vieux
Tandis que j’erre sous la pluie
Je pleure et la douleur me poursuit
Et j’implore ta présence
Pour que cesse ma souffrance
Mais pourquoi fuit-elle ?
Fuit – fuit – fuit – fuit-elle à la dérive ?
Et où
Où – où – où – où – où se cache-t-elle ?
Sur quelle autre rive ?
Ma petite fugitive
Fu – fu – fu – fu – fugitive.
Tandis que j’erre sous la pluie
Je pleure et la douleur me poursuit
Et j’implore ta présence
Pour que cesse ma souffrance
Mais pourquoi fuit-elle ?
Fuit – fuit – fuit – fuit-elle à la dérive ?
Et où
Où – où – où – où – où se cache-t-elle ?
Sur quelle autre rive ?
Ma petite fugitive
Fu – fu – fu – fu – fugitive.
Fu – fu – fu – fu – fugitive.
Fu – fu – fu – fu – fugitive.
Fu – fu – fu – fu – fugitive.
(Traduction - Adaptation : Polyphrène)
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