Voici une chanson enflammée tout à fait représentative de John Denver (qui l'écrivit pour sa femme, Annie), sur une mélodie simple et exaltante, célébrant l’amour tel que les épisodes de la vie viennent l’illustrer : tantôt calme et profond comme un océan, tantôt vibrant et fracassant comme un orage, tantôt apaisant et régénérant comme la pluie au petit matin, tantôt mystérieux et fascinant comme la forêt de nuit… tout cela tour à tour ou tout à la fois. Serait-ce exagérer de prétendre que l’amour est à la source de tout le bien que peut apporter la vie ? N’est-ce pas l’amour qui donne à toute chose un relief, une couleur, un sens ? Et tout ne paraît-il pas vide et vain en son absence ?
Chanson pour Annie
Tu combles tous mes sens
Comme une nuit en forêt
Comme la montagne au printemps
Comme la pluie à l’aurore
Comme l’orage dans le désert
Comme un calme océan bleu
Tu combles tous mes sens
Comble-moi encore
Laisse-moi t’aimer
Laisse-moi te donner ma vie
Et me noyer dans ton rire
Et mourir dans tes bras
Et m’étendre à tes côtés
Avec toi, toujours, rester
Laisse-moi t’aimer
Viens m’aimer encore
Laisse-moi te donner ma vie
Laisse-moi t’aimer
Viens m’aimer encore
Tu combles tous mes sens
Comme une nuit en forêt
Comme la montagne au printemps
Comme la pluie à l’aurore
Comme l’orage dans le désert
Comme un calme océan bleu
Tu combles tous mes sens
Comble-moi encore
(Traduction – Adaptation : Polyphrène)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire
Vous avez la parole :