You kissed me once and you knew darned well
Oh, you knew darned well, my liberty belle
I'd love nobody but you
There's pretty girls in Singapore and the Philippines
All along Killarney shore, oh, the fair colleens
There's sweet Fifi from gay Paree and Wilhelmina, too
But Belle, Belle, my liberty belle, I'm still in love with you
When stars are like a string of pearls 'round a blue lagoon
How the Bali Bali girls dance beneath the moon
Now while they dance I'll take a chance and steal a glance or two
But Belle, Belle, my liberty belle, I'm still in love with you
I'll march, march, march the whole world over (over)
I'll sail, sail, sail the ocean blue (sail the ocean blue)
They've made my blinkin' heart a rover (a rover)
But it's never hardly ever away from you
Of all the girls in Singapore and the Philippines
You're girl that I adore, kiss in all my dreams
I'll hold you soon beneath the moon, till then sweetheart be true
'Cause Belle, Belle, my liberty belle, I'm still in love with you
(Belle, Belle, Belle)
Of all the girls in Singapore and the Philippines
You're girl that I adore, kiss in all my dreams
I'll hold you soon beneath the moon, till then, sweetheart be true
'Cause Belle, Belle, my liberty belle, I'm still in love with you
Oh, my liberty Belle, my pretty little belle
You kissed me once and you knew darned well
Oh, you knew darned well, my liberty belle
I'd love nobody but you
I love nobody but you
Cette
chanson de Guy Mitchell (en 1951 : un bonne année !), écrite par Bob Merrill, est imprégnée de l’optimisme et de la gaité de la période d’après guerre, lorsque les soldats américains
parcouraient le monde et envoyaient à leur « belle » restée au pays
des lettres enflammées jurant fidélité. Elle est donc bien représentative d’une
époque d’espoir, de gaité et d’exubérance… dont on ne retrouve guère la trace
aujourd’hui, où les crises succèdent aux crises.
Cette
vision de la « vie en rose » n’est certes pas exemple de naïveté, et
le temps nous révèle combien d’espoirs sont déçus et combien de serments
reniés, mais, dans le marasme général, le « parti-pris de la vie » n’est-il
pas préférable au fatalisme et au renoncement ?
Belle,
Belle, Ma Liberté-Belle
Oh, ma
Liberté-Belle, ma jolie petite Belle
Tu savais
bien qu’à ton premier baiser
Tu savais
fort bien, ma Liberté-Belle
Que c’est
toi seule que j’aim’rais
A
Singapour, aux Philippines, les filles sont belles
Atour de
Killarney, les blondes demoiselles
Il y a Fifi
du gai Paris, et Wilhelmine, quel choix !
Mais,
Belle, Belle, ma Liberté-Belle, mon seul amour c’est toi
Quand les
étoiles, en couronne, brillent sur la lagune
Les filles
de Bali dansent au clair de lune
Tandis
qu’elles dansent, si j’ai la chance, j’admire ce que je vois
Mais,
Belle, Belle, ma Liberté-Belle, mon seul amour c’est toi
Je marche,
marche, marche tout autour du monde
Je vogue,
vogue, vogue sur les océans
C’est ainsi
que mon cœur vagabonde
Mais sans
jamais s’éloigner de toi pour autant
Les filles,
de Singapour aux Philippines, ont tant de grâce
Mais tu es
celle que j’adore et qu’en rêve j’embrasse
Bientôt, je
vais te retrouver ; sagement, attends moi
Car Belle,
Belle, ma Liberté-Belle, mon seul amour c’est toi
(Belle,
Belle, Belle)
Les filles,
de Singapour aux Philippines, ont tant de grâce
Mais tu es
celle que j’adore et qu’en rêve j’embrasse
Bientôt, je
vais te retrouver ; sagement, attends moi
Car Belle,
Belle, ma Liberté-Belle, mon seul amour c’est toi
Oh, ma
Liberté-Belle, ma jolie petite Belle
Tu savais
bien qu’à ton premier baiser
Tu savais
fort bien, ma Liberté-Belle
Que c’est
toi seule que j’aim’rais
C’est toi
seule que j’aim’rai
(Traduction
– Adaptation : Polyphrène)
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