They dance so sweet and slow
Dug-out from below there
To damn the gods
A grip that will hold
So tight and close
Around my throat with
The weight of all our lives
You can give to my heart
Thousand words or more
You can give to my heart
Thousand words or more
The drum you stroke
Damn that beat so old
In the ground it grows there
To damn the sun (oh what will come to life)
Gates of gold
In your head you hold
A kingdom molten
May the gods be on your side
You can give to my heart
Thousand words or more
You can give to my heart
Thousand words or more
Le passé, les ténèbres du passé, les fantômes du passé, les
portes d’or qui ouvrent sur des ruines, et l’angoisse de se trouver
irrémédiablement entraînés vers l’avenir – et vers la fin – par le poids de nos
vies, hantent les chansons d’Agnes Obel dans son
dernier album, « Citizen of Glass ».
Mettre des mots, des milliers de mots, sur les souvenirs est une façon de les
faire revivre. Penser, créer,
écrire,
chanter,
pour survivre…
A Hélène
Étire Tes Yeux
L’ombre et le fantôme dansent
Tendrement, lentement
Déterrées d’en bas pour
Damner les dieux
Une étreinte qui
Serrera si
Fort ma gorge avec
Le poids de toutes nos vies
Tu peux vouer à mon cœur
Mille mots et plus
Tu peux vouer à mon cœur
Mille mots et plus
Tu tambourines
Ce maudit vieux rythme
Dans le sol, il croît pour
Damner l’soleil
(Oh, c’qui vient à la vie)
Portes d’or
Dans ta tête, tu tiens
Un royaume dissous
Puissent les dieux être avec toi
Tu peux vouer à mon cœur
Mille mots et plus
Tu peux vouer à mon cœur
Mille mots et plus
(Traduction – Adaptation : Polyphrène)
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