dimanche 8 mai 2011

Nights In White Satin

Nights in white satin,
Never reaching the end,
Letters I’ve written,
Never meaning to send.

Beauty I’d always missed
With these eyes before,
Just what the truth is
I cant say anymore.

‘Cause I love you,
Yes, I love you,
Oh, how, I love you.

Gazing at people,
Some hand in hand,
Just what Im going thru’
They can understand.

Some try to tell me
Thoughts they cannot defend,
Just what you want to be
You will be in the end,

And I love you,
Yes, I love you,
Oh, how, I love you.
Oh, how, I love you.

Nights in white satin,
Never reaching the end,
Letters Ive written,
Never meaning to send.

Beauty Id always missed
With these eyes before,
Just what the truth is
I cant say anymore.

‘Cause I love you,
Yes, I love you,
Oh, how, I love you.
Oh, how, I love you.

‘Cause I love you,
Yes, I love you,
Oh, how, I love you.
Oh, how, I love you.



Un grand moment de nostalgie, avec les Moody Blues : dans le silence de la nuit, on n’entend que le grattement de la plume sur le papier Vélin blanc, écrivant, raturant, écrivant à nouveau, tentant d’exprimer le tourment de l’âme et l’impatience des sentiments.
Et les notes de cette formidable mélodie résonnent alors, suivies à nouveau d’un silence – le temps d’entendre battre le cœur.
Et la nuit se prolonge, et la peine se mêle à l’espoir, et nos yeux cherchent dans l’obscurité les yeux dans lesquels nous voudrions plonger tout entier.
L’amour submerge tout et le cœur exulte, mais aucun écho ne vient troubler le silence de la nuit.
Et notre esprit s’envole comme un oiseau de nuit, cherchant la source de cette mélodie envoûtante qui souligne le silence.


Nuits Sur Vélin Blanc

Nuits sur vélin blanc
Ne finissant jamais
Mes lettres écrivant
Pour ne pas les poster

Beauté que mes yeux
N’ont jamais su voir
Et vérité que
Je n’sais plus percevoir

Parce que je t’aime
Oh, oui, je t’aime
Oh, oui, que je t’aime

Les gens qu’on peut voir
Se tenir la main
Ne peuvent pas savoir
Quel sort est le mien

Certains vont prétendre
Ce qu’ils ne prouvent pas
Que ce que tu veux être
Un jour tu le seras

Mais, moi, je t’aime
Oh, oui, je t’aime
Oh, oui, que je t’aime
Oh, oui, que je t’aime

Nuits sur vélin blanc
Ne finissant jamais
Mes lettres écrivant
Pour ne pas les poster

Beauté que mes yeux
N’ont jamais su voir
Et vérité que
Je n’sais plus percevoir

Parce que je t’aime
Oh, oui, je t’aime
Oh, oui, que je t’aime
Oh, oui, que je t’aime

Parce que je t’aime
Oh, oui, je t’aime
Oh, oui, que je t’aime
Oh, oui, que je t’aime

(Traduction – Adaptation : Polyphrène)

1 commentaire:

  1. Merci beaucoup pour cette traduction d'une chanson magnifique que j'adore ! Les dernières interprétations qu'en a fait Bashung lors de ses derniers concerts resteront gravées à jamais dans ma mémoire, avec sa voix, toujours à la limite de la brisure...
    Fanfan

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