mardi 13 janvier 2009

Big River

Now I taught the weeping willow… how to cry,
And I showed the clouds how to cover… up a clear blue sky.
And the tears that I cried for that woman    are gonna flood you
Big River.
Then I'm gonna sit right here until I die.

I met her accidentally in St. Paul
(Minnesota).
And it tore me up every time I heard her drawl,
Southern drawl.
Then I heard my dream was back downstream… cavortin' in Davenport,
And I followed you, Big River… when you called.

Then you took me to St. Louis… later on
(down the river).
A freighter said she's been here but she's gone,
Boy, she's gone.
I found her trail in Memphis, but she just walked up the block.
She raised a few eyebrows and then she went on down alone.

Now, won't you batter down by Baton Rouge… River Queen,
Roll it on.
Take that woman on down to New Orleans,
New Orleans.
Go on, I've had enough… Dump my blues down in the gulf.
She loves you, Big River, more than me.

Now I taught the weeping willow… how to cry, cry, cry
And I showed the clouds how to cover… up a clear blue sky.
And the tears that I cried for that woman    are gonna flood you
Big River.
Then I'm gonna sit right here until I die.

 

 

La quintessence de Johnny Cash, avec sa signature acoustique, et ses guitares ponctuant le rythme de façon quasi hypnotique, et un thème ultra-classique - la poursuite d'un amour impossible - associé au cours d'une rivière mythique, le Mississippi.

 


Grande Rivière

J’ai appris comment pleurer aux… saules pleureurs,
Et aux nuages comment cacher du… soleil la lueur,
Et les larmes que j’ai versées pour cette femme… te f’ront déborder,
Grande Rivière
Mais je rest’rai là jusqu’à c’que j’meure.

Je l’ai rencontrée par hasard à St-Paul
(Minnesota)
Et dès que j’entends son accent mon cœur s’affole
(Accent du Sud)
Puis on me dit que, plus en aval, vers…Davenport, elle batifole
Et je suis ton cours, Grande Rivière… à ton appel

Puis, tu m’as entraîné jus… qu’à Saint-Louis,
(Vers l’aval)
Un marin l’y avait signalée, mais, oui
Déjà partie !
Je trouve sa trace à Memphis ; elle vient de monter l’avenue,
Elle fronce les sourcils, puis, seule, sur sa route elle continue.

Rivière – Reine, ne vois-tu pas Bâton-Rouge… maintenant ?
Coule-s-y donc !
Emporte là vers Nouvelle Orléans,
Nouvelle Orléans.
Allez ! J’’en ai assez… Noie mon cafard dans la baie:
Elle t’aime, Grande Rivière, plus que moi.


J’ai appris comment pleurer aux… saules pleureurs, pleureurs,
Et aux nuages comment cacher du… soleil la lueur,
Et les larmes que j’ai versées pour cette femme… te f’ront déborder,
Grande Rivière
Mais je rest’rai là jusqu’à c’que j’meure.

(Traduction - Adaptation : Polyphrène)


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