Je n'ai pas tellement de reproche à faire dans la vie
Ça n'empêche pas certains de dire
Que j'perds mon temps à écouter la pluie.
Ils ne savent pas entendre au travers de leur propre bruit
Comme une chanson qui va toute seule
Sans qu'on l'apprenne et sans qu'on l'ait choisie.
Elle dit "soleil", elle dit "prête-moi ton arc-en-ciel", elle dit "merci".
Elle dit "soleil", elle dit "prête-moi ton arc-en-ciel", elle dit "merci".
Tous les gens dans la ville se cachent chez eux et s'ennuient.
Ils grognent du fond d'un pull-over
Qui leur va mal, mais ils sont à l'abri.
Moi, j'ai des billes au bout des baleines de mon parapluie.
J'ai une chanson qui va toute seule
Sans qu'on l'apprenne et sans qu'on l'ait choisie.
Elle dit "soleil", elle dit "prête-moi ton arc-en-ciel", elle dit "merci".
Elle dit "soleil", elle dit "prête-moi ton arc-en-ciel", elle dit "merci".
Elle dit "soleil", elle dit "prête-moi ton arc-en-ciel", elle dit "merci".
Elle dit "soleil", elle dit "prête-moi ton arc-en-ciel", elle dit "merci".
Elle dit "soleil", elle dit "prête-moi ton arc-en-ciel", elle dit "merci".
Elle dit "soleil", elle dit "prête-moi ton arc-en-ciel", elle dit "merci".
Ce matin, c’est encore une mélodie de William Sheller qui me trotte dans la tête : je n’ai pas encore changé le CD sur l’auto-radio ! Je n’en connais pas les paroles, hormis le refrain. C’est donc l’occasion de les découvrir par une petite recherche sur le Web.
Surprise : les couplets se terminent par « une chanson qui va toute seule sans qu'on l'apprenne et sans qu'on l'ait choisie. ». C’est tout à fait ça. Chaque matin, une chanson est là, dans ma tête, et va toute seule sans que je l’aie choisie. Elle est probablement entrée dans mon sommeil, comme pour préparer et faciliter mon retour à la réalité tandis que mon esprit se laissait entraîner par des rêves absurdes.
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